Quel est le visage de cette aumônerie ?
On considère que presque 500.000 Antillais et Guyanais résident sur Paris et sa banlieue. Ils sont venus en métropole dans la période faste des années 60, souvent pour travailler dans la fonction publique, notamment à La Poste et dans les hôpitaux. Nous en sommes maintenant à la 2ème et à la 3ème génération. Ils sont présents dans toutes les paroisses. J’en ai eu la preuve aujourd’hui même, avec une Martiniquaise, une Guadeloupéenne et une Haïtienne, là où je réside, à la paroisse Sainte-Marthe des Quatre chemins à Pantin (93). Pour les jeunes, mon prédécesseur avait lancé le Festival de la jeunesse, l’été, rassemblant ainsi plusieurs centaines d’entre eux.
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